Sabrina Y.
Les soins et l'hygiène des résidents mitigés personnes dans les étages les aides soignante ne prennent jamais d douches au patients,elles sont sans arrêt en train de fumer et l'acceuil du nouveau personnel zéro très méchante les aides soignantes les infirmières sont invisibles
Le 30 décembre 2023
Noelia G.
J’ai été contacter 3 fois pour du travail, sois j’étais sans réponse sois on repoussait mes rendez-vous. J’espère qu’ils ne s’occupent pas des résidents comme ils s’occupent de leurs équipes soignantes. Je déconseille fortement de postuler ici!!!
Le 30 novembre 2023
MARINE V.
Ma mère 95 ans est entrée en EHPAD le 7 mai 2020 suite à une chute chez elle qui lui a valu de passer une bonne semaine à l’hôpital de Chalon puis à Chagny à cause du COVID.
Très diminuée, il a fallu rechercher un établissement pouvant l’accueillir. Après quelques coups de téléphone, j’ai été recontactée par le directeur de Santenay qui m’a fait une offre commerciale en plus de la gratuité du lavage de linge. Cette maison étant récente : chambre spacieuse, parc, je n’ai pas hésité.
Habitant Quetigny, j’ai fait les voyages (124 km A-R) toutes les semaines. Je pensais que ma mère était bien.
En juillet 2021, Une infirmière de l’établissement me téléphone pour me prévenir que revenant de vacances, elle l’avait trouvée bien changée. Effectivement, je me suis rendue compte qu’elle était d’une maigreur inquiétante et ne pouvait plus marcher sans tomber. Le médecin m’a demandé si je voulais l’hospitaliser. J’ai répondu que si on pouvait faire les mêmes soins sur place, ce n’était pas utile. Elle était à la fois dénutrie et déshydratée.
A partir de ce moment, elle a été privée de pain, gâteau, tout ce qui était susceptible de l’étouffer. Elle n’arrivait plus à boire. J’ai pensé que sa fin était proche : elle n’avait que la peau et les os ; on aurait pu la croire sortie d’un camp de concentration. Dépourvue d’autres pathologies, elle a cependant bien résisté à ces privations. Sa vie s’est déroulée alors, attachée sur un fauteuil roulant et souvent seule dans sa chambre.
Lorsque j’allais la voir le dernier mois à Santenay, elle me réclamait du pain. Les aide- soignantes, qui avaient des ordres, m’ont refusé de la brioche que je me proposais à lui faire manger au goûter. L’une d’elles m’a dit : « Je ne prendrai pas cette responsabilité ». Elle n’avait droit qu’aux yaourts.
Fin octobre au changement d’heure, l’idée m’est venue de la rapprocher de chez moi. J’ai demandé à l’EHPAD d’Hauteville les Dijon (même enseigne), s’il y avait de la place. J’ai eu la chance de pouvoir l’installer le 2 décembre 21 dans cet établissement. Son état a fait peur aux infirmiers qui se sont occupés d’elle (31kg !).
L’équipe médicale d’Hauteville a procédé à un changement de politique : elle a pu manger ce qu’elle voulait avec compléments protéinés. Ma mère a repris 3 kg en un mois, elle ne fait plus peur. Elle a frôlé la mort par manque de nourriture.
Quant au linge qui était lavé gratuitement, il m’est revenu déchiré, boutons arrachés, lainages feutrés et des habits perdus ; on comprend mieux pourquoi le service était gratuit !
C’est le personnel qui fait la qualité d’un établissement. A Santenay, le personnel m’a paru manquer d’humanité et même de compétence. Pourtant cet établissement avait tout pour attirer des résidents. Le directeur est parti fin septembre ( ?). Un autre a pris la place plus d’un mois après.
J’ai pris conscience, en début d’année, que si je ne l’avais pas changée d’établissement, elle serait décédée. Il est indispensable que les EHPAD se soucient en priorité du respect, du bien-être et de la santé de leurs résidents.
Le 30 mars 2022